Article
YR506 - Digipack
Compositeur :
Ludwig van BEETHOVEN (1770-1827)
Titre :
Quintette et œuvres rares pour quatuor à cordes
Interprète(s) :
Shuli Waterman > alto

Quatuor Ysaÿe :
  - Guillaume Sutre > violon
  - Luc-Marie Aguera >violon
  - Miguel da Silva > alto
  - François Salque > violoncelle
Type :
CD
Collection :
17 €  
Présentation :


Lorsqu'il s'agit d'une personnalité de l'importance de Beethoven, la découverte d'œuvres nouvelles dépasse l'intérêt de simples exhumations et peut faire figure de véritable événement ou nous faire pénétrer dans les secrets du laboratoire beethovénien. C'est le cas des cinq petites pièces isolées pour quatuor et quintette à cordes figurant dans ce disque, œuvres rares, voire inédites au disque, qui accompagnent ici deux partitions plus connues mais qui méritent davantage de notoriété, le Quintette op. 29 — un chef-d'œuvre — et le Quatuor en fa majeur, Hess 34.
Bernard Fournier
Photos du produit :




Détail des plages :



Quintette à cordes op.29 en ut majeur
1. Allegro moderato (1’15)
2. Adagio molto espressivo (10’48)
3. Scherzo. Allegro (4’10)
4. Presto (8’54)

5. Fugue op.137 en ré majeur (2’00)

6. Fragment de quatuor en si mineur (0’37)
7. Menuet Hess 33 en la bémol majeur (2’16)
8.-9. Prélude & Fugue Hess 30 en fa majeur (9’12)
10. Arrangement de la Fugue d’après l’ouverture de Solomon de Haendel, Hess 36 (2’57)

Arrangement de la Sonate pour piano op.14 n°1, Hess 34
11. Allegro moderato (7’07)
12. Allegretto (3’50)
13. Allegro (3’43)
Détails techniques :


Enregistré en 2005
Durée totale : 66’19
Direction artistique : Judith Carpentier-Dupont, Miguel da Silva et Guillaume Sutre
Ingénieur du son : Matthieu Rondeau
Montage : B. Ertus

Livret : 40 pages
Textes de Bernard Fournier
Notices en français, anglais et allemand
Photographie de Gérard Rondeau

Avec le précieux soutien du Festival de l'Epau et de la SPPF.
Critiques parues et récompenses :


Diapason
Le Quatuor Ysaÿe et Shuli Waterman en proposent ici une vision radieuse, aérée et d’une exquise fluidité. La pureté des timbres, la souplesse et plus encore la tendresse des lignes témoignent une fois encore de l’excellence du goût et du raffinement poétique des interprètes. En parfaite filiation avec l’esthétique des Amadeus, dont ils s’affirment disque après disque comme les descendants les plus authentiques, le discours des Ysaÿe et de leur remarquable partenaire atteint ici, par ses qualités vocales comme par la sincérité de son émotion, la poignante densité de ses illustres aînés.
Jean-Michel Molkhou